
Sur la toile plantée entre Vannes et Lorient
Les gouttes de pluie sont séchées par le vent
On se réveille à peine
Le sable qui poudroie brille de coquillages
Sous l’océan caressant longuement la plage
Les rochers se souviennent
Vers l’an dro d’Auray, les peintres, les goélands
Les menhirs, les crêpes, les petits ports d’antan
Les sentiers nous amènent
Les humeurs de ce ciel ne sont que de passage
Et nous goûtons le vert, le bleu des paysages
Les heures sont sereines
Souvenir du Morbihan. Juillet 2012.
Ce poème me rappelle quelque chose 😉 C’est très beau ! Continue comme ça !
Oui… Les destinataires de mes cartes postales l’ont eu en avant-première 🙂